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Missions

JUILLET 2016

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Une équipe composée d'archéologues, d’une anthropologue et d'ouvriers spécialisés a pu réaliser du 4 au 29 juillet, une fouille archéologique approfondie de la zone A nettoyée en 2015.

L’implantation du secteur correspond à une surface de 77m2 orienté nord-sud à l’ouest du locus 1.

Une anthropologue a été mandatée afin d’analyser les sépultures de manière complète et systématique. La fouille de cette zone, très complexe, nous a apporté de précieuses informations sur l’évolution des structures dont plusieurs phases sont déjà visible en élévations.

Un bâtiment dont la façade occidentale s’est rétrécie avec le temps et autour de laquelle s’installent plusieurs ères d’inhumations a pu être mise en évidence. Les structures découvertes confirment la complexité d’évolution de cet édifice que nous avions déjà pu observer dans l’étude des élévations.

Une hypothèse possible serait de voir le locus 1 (espace quadrangulaire clos à l’ouest du bâtiment) comme l’ultime phase d’une petite église ou chapelle privé d’un édifice plus important ayant bénéficié d’un traitement particulier. En effet, les morts sont encore enterrés jusqu'au XVII-XVIIIème siècle à l’ouest et au sud de cette structure.

FEVRIER 2016

 

Une campagne de relevé photos avec un drone a été réalisée du 15 au 21 février, afin d’acquérir les dernières données nécessaires à la finalisation des orthophotographies.

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Ce travail a été réalisé par la société Kronos 3D, basée à Crotone.

JUILLET 2015

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Une équipe composée d'archéologues, d'étudiants et d'ouvriers spécialisés a pu réaliser un nettoyage de surface de deux secteurs du 1er au 29 juillet.

Ces travaux étaient destinés à vérifier le potentiel archéologique du site, afin d’établir une demande de concession dans le but de réaliser des sondages ponctuels nécessaires à l’établissement d’hypothèses sur l’évolution du Vescovado.

Les deux sondages ont été implantés aux endroits les plus pertinents pour une première approche, à savoir à l’intérieur de l’édifice au centre (secteur B) et sur la zone périphérique à l’ouest (secteur A). Le but étant d’obtenir un plan complet du bâtiment dont il manque aujourd’hui plusieurs sections.

2015 - secteur A

AVRIL 2015

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En avril 2015, nous avons effectué une prospection géophysique au géoradar à l’intérieur et aux abords immédiats de l’édifice. Ces relevés ont révélé la localisation en profondeur de plusieurs structures. La combinaison des résultats obtenus par scanner et radar avec ceux de l’étude des élévations a permis de mettre en évidence des zones susceptibles d’apporter des renseignements complémentaires sur l’évolution de l’édifice et de mettre en place des stratégies de travail cohérentes avec la problématique de recherche.

La prospection a été réalisée par Christian Camerlynck (Université de Paris6 et UMR7619 Metis) et Colas

Flynck, étudiant (Université de Paris 6).

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La prospection a été réalisée par Christian Camerlynck (Université de Paris6 et UMR7619 Metis) et Colas Flynck, étudiant (Université de Paris 6).

FEVRIER 2015

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Un relevé des structures au laser scanner 3D a été réalisé du 2 au 6 février, constituant ainsi une étape nouvelle et primordiale dans l'établissement d'un plan précis de l'édifice, jusqu’alors inexistant. Cette méthode présente plusieurs avantages, notamment celui de gagner un temps considérable sur le relevé et dans la production des plans mais aussi celui d'obtenir une sauvegarde virtuelle de l'édifice. Ce dernier point est très important puisque le bâtiment se dégrade d'année en année malgré les tentatives de stabilisation des structures en 1999.  

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Le matériel nous a aimablement été prêté par le laboratoire d’archéologie et d’archéométrie du CNRS-UMR5138 ArAr. Le relevé et le traitement des données ont été réalisés par Anne Flammin (CNRS-UMR5138 ArAr) et Amélie Roger, doctorante (Université de Lyon2).

Scanner de la citadelle

Photogrammétrie

JUILLET 2014

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Toutes les élévations de la citadelle ont été photographiées du 21 juin au 12 juillet  afin de produire les orthophotographies et les photogrammétries nécessaires à l’étude du phasage des structures. Le petit appareil utilisé pour la construction de ce bâtiment rend difficile un relevé pierre à pierre traditionnel dans le temps imparti à une thèse. 31 élévations ont ainsi pu être cataloguées.

Carte des profondeurs

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